La tapisserie de Fionavar de Guy Gavriel Kay [série]


Si tout était écrit, tissé sur une trame et que nos vies étaient les fils de cette tapisserie, casser un fil changerait-il la trame ? Découvrez ce que Guy gabriel Kay a tissé dans cette saga : la tapisserie de Fionavar.


Éditeur: ..

Nb de pages : 600/livres

Série : La Tapisserie de Fionavar 

Catégorie : Fantasy

Traducteur : /

Pourquoi cette série ? 

Ces livres ont été lus dans le cadre 
du Challenge 26 livres, 26 auteurs 2011
du ABC fantasy challenge et SFFF 2012
de l'ABC imaginaire 2015 (demi-challenge)


Ils sont cinq, femmes et hommes, tous vivant à Toronto au Canada ; ils sont jeunes, étudiants ou déjà dans la vie active, tous rationnels. Or, les voici projetés dans Fionavar, le Grand Univers dont le nôtre n'est qu'une ombre bien pâle ! Malgré la protection offerte par Mantel d'Argent le magicien, ils sont aussitôt pris dans les premières escarmouches de la guerre qui oppose les forces des Lumières à celles des Ténèbres. Car Rakoth Maugrim, le dieu renégat, a trouvé moyen de se libérer de sa prison millénaire... 

Avec dextérité, Guy Gavriel Kay tisse, dans L'Arbre de l'été, premier volet de La Tapisserie de Fionavar, une intrigue complexe et surprenante où surgissent tout à tour des esprits des bois et des eaux, des animaux surnaturels et une magie titanesque, celle des dieux de l'univers de Fionavar...


C'est une trilogie fantasy avec :

L’Arbre de l'été  [lu]
- Le Feu vagabond [lu]
La Voie obscure [lu]







Guy Gavriel Kay est né en 1954 à Weyburn (Canada)

Ecrivain spécialisé dans l'heroic fantasy, il a participé à la rédaction du Silmarillion de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien (avec Christopher Tolkien), avant de publier des romans sous son propre nom.





L'histoire évoquée dans le résumé est vraiment un "vague aperçu" de ce qui se déroule au fil des pages majestueuses de ce livre. Certes, on y apprend que cinq personnes de notre univers vont débarquer dans Fionavar... or, cette épopée est bien plus qu'un transfert d'hommes et de femmes dans un univers magique. C'est tout un monde que l'auteur nous dépeint. Depuis les peuples qui y vivent, les contrées plus ou moins sauvages, les conflits politiques, en passant par l'histoire passée et les prophéties du futur...

[l'Arbre de l'été -  28/09/2011]

Je possédais ces livres depuis assez longtemps (sans le troisième), puisque je voulais découvrir cet auteur, étant donné qu'il a contribué à la mise en page du Silmarillion, livre que j'adore. Mais, le temps nous dévie parfois … le tome 1 a été lu dans le cadre des challenges 2011, et le second, par pur plaisir, les challenges 2012 étant terminés, ou quasiment.

Le premier tome se décompose en quatre parties et suit un court prologue, qui permet de situer l'histoire par rapport à des événements survenus longtemps avant, lorsque le Dieu déchu fut enfermé sous la montagne. Les cinq héros sont tout d'abord à Toronto et nous les rencontrons de façon un peu sommaire. Nous devinons qu'ils vont devenir des êtres particuliers, là-bas, dans Fionavar, là où Mantel d'Argent veut les emmener... et l'auteur ne s'attarde pas sur les présentations, il va assez vite à l'essentiel, puisqu’il prendra le temps, après, de nous dévoiler les traits de caractère de chaque protagoniste, d'approfondir jusqu'aux sens, aux regrets, aux passions.

Dès la deuxième partie, les affres de nos héros commencent : l'un d'eux a disparu ! Toutefois, cela ne semble pas les incommoder outre mesure... (Après tout, il est plus une connaissance qu'un véritable ami) le magicien leur dit partir à sa recherche, et ils s'en contentent. Bon, de toute façon, ils sont un peu perdus aussi dans ce monde. Les us et coutumes y sont légèrement désuets par rapport aux us des années 80. Ah, oui, petit détail, cette trilogie a été écrite dans les années 80, avant internet, avant les téléphones portables... sinon, je pense que l'auteur les aurait intégrés, subtilement, dans la première partie. De toute façon, en Fionavar, le monde est plutôt "Renaissance"... ou post-médiéval avec des chevaux, des calèches, de grandes maisons froides aux balcons donnant sur des jardins, et des robes de princesse pour ces Dames. En fait, c'est aussi l'univers de Tolkien. Et je vais faire un petit aparté sur ce sujet.

J'adore la Fantasy, j'adore Tolkien et, du coup, j'ai eu la sensation de connaître le monde dépeint par Guy Gavriel Kay. Le monde, et un peu la trame. Le monde et un peu les personnages. Bref, cette histoire au début du chapitre deux m'a semblé être vaguement inspirée par celle de JRR Tolkien. Pourtant, je n'y retrouvais pas les mêmes sensations, les mêmes idées. Ce livre n'est pas une réécriture du SDA, comme j'ai pu le lire de-ci de-là. C'est une véritable histoire, avec des influences celtes, comme dans les livres de JRR Tolkien. Et puis, on peut toujours trouver des similitudes entre les livres de Fantasy... certains s'y amusent, personnellement, je préfère voir dans l'épreuve de l'Arbre de l'été que subit Paul, une allégation à la légende d'Odin et son sacrifice dans l'Arbre-Monde dans la mythologie nordique ! Sans oublier la terre : Dana... qui renvoie aussi aux traditions irlandaises. Chacun ses convictions.

Le style de Guy Gavriel Kay a su m'emporter, passé les petits doutes des premières pages. J'ai trouvé le début un peu déroutant, mais, rapidement, je me suis laissée porter par ce style résolument classique tant dans les descriptions que dans les actions. Ce qui fait la force de Kay, c'est la trame même, le fait de narrer les évènements depuis chaque héros. Cela donne une vision globale, très appréciable. On pourrait croire que du coup, cela manque de vivacité, d'action. Eh bien non. L'auteur évoque les faits vus ou vécus par ses héros, mais évite les redites, et du coup, si nous avons déjà vu une scène, il ne la réécrit pas, il en donne les détails d'avant, d'après, ou les pensées...

Sans oublier l'art du suspens. L'auteur glisse de temps en temps une petite phrase qui pourrait laisser croire que l'on a compris où il allait, que l'on sait ce qui va se passer... sauf que ces phrases sont trompeuses. Comme des prophéties, elles ne tiennent pas compte du libre arbitre. Elles n'éclairent qu'un infime passage de l'histoire et oublient la suite... les choix... Pour en revenir au livre, nous suivons dans cette histoire chacun des protagonistes lors de ses expériences dans cet univers. L'auteur a choisi de nous montrer ce que fait chaque personnage à certains moments, jusqu'à ce qu'ils soient réunis, par exemple, ou qu'il arrive quelque chose à l'un d'entre eux. Cela fait des circonvolutions, des boucles, des fils tissés, et au final une tapisserie où nous pouvons retrouver chaque fil et en donner l'histoire... C'est très beau. C'est très brillant. C'est toutefois assez "classique" en fantasy, mais tellement agréable, et cela apporte tant d'éléments de connaissance que j'ai plongé dès le milieu de la deuxième partie pour ne plus lâcher le livre.

La troisième partie nous montre, enfin, l'évolution de Dave (Davor) et, là, nous entrons dans la partie la plus savoureuse du livre. Les Daelreï sont des cavaliers émérites qui parcourent les plaines de Fionavar en nomades. Ces hommes ont des traditions si belles et sont si proches de la nature que je n'ai pu que les aimer. Bien sûr, j'ai aimé aussi les Lios Alfar (Álfar veut dire Elfe en Scandinave...) et j'ai grincé des dents face au Svart Alfar. Toutefois, l'amitié qui naît entre Dave et Torc m'a touchée. Ces deux hommes sont des êtres à part, un peu rejetés par les autres pour leurs différences, leur asociabilité, et les voir s'apprécier, puis partager une pure amitié a été très sympathique.

"- Aucun homme d'aucune tribu n'aurait pu ouvrir une brèche, je pense. Quoi qu'il arrive à présent, tu nous as sauvé la vie à ce moment là.- J'ai balancé la hache, c'est tout, marmonna Dave. A ces mots, Torc, à sa grande surprise, éclata de rire. Un instant, les arbres qui écoutaient furent réduits au silence. Aucun mortel n'avait ri dans la forêt de Pendarame depuis mille ans. " (P356)

La quatrième partie prend son départ avec le retour de Dave auprès de ses "amis" et co-voyageur de l'espace-temps. Et l'on devine que l'histoire va s'emballer, que le mal qui a jailli de sa montagne va entrer en guerre contre eux. Et l'on voit les hommes de Fionavar s'unir à nouveau...

Les personnages sont attachants, même si je les ai trouvé un peu froids dans la première partie. Guy Gavriel Kay a volontairement montré Paul comme antipathique... par exemple, puis, peu à peu, nous apprenons à le cerner, nous découvrons son âme, et nous finissons par véritablement le comprendre. Bon, je ne suis pas fan de ce personnage. Pourtant je me doute qu'il aura un rôle important dans la suite, aussi. Je m'aperçois que je n'ai pas cité les cinq héros... tant pis !

Le temps est aussi un des héros du livre ! Nos cinq personnages débarquent dans Fionavar pour une quinzaine de jours, normalement, mais, l'histoire narrant le passé, le présent, les souvenirs, les faits vus depuis les uns et les autres, nous sommes en perpétuel mouvement sur la grille du temps. Et au final la Tapisserie de Fionavar est aussi une carte du temps qui court...

[Le feu Vagabond – septembre 2012] 

Dans le second livre, nos cinq héros reviennent en Finavar, mais par leurs propres moyens. Je ne dévoilerai pas ici leurs méthodes pour le faire, sachez juste que deux d’entre eux en sont capables... et entraînent les autres.

De surcroît, ils vont faire venir une autre personne : Arthur. Oui, Le Arthur. Roi mythique, qui ici vient se mêler à l’intrigue, à l’histoire… C’est… déroutant. D’autan que dans Fionavar, Arthur est aussi connu, et tout aussi respecté, tout aussi mystique. Passé la première émotion, et succombant au charme de cet homme qui a de toute façon déjà conquis mon âme de lectrice fantasy, j’ai suivi les pérégrinations d’Arthur, regrettant presque qu’il ne soit pas plus mis en avant. Mais non, Guy Gavriel Kay a su conserver à cet hôte particulier son rôle de guide, d’aide. Venu pour les assister, il ne prendra pas leur place de héros dans cette nouvelle histoire. La trame originale du premier est supplantée par cette nouvelle intrigue.

Le noir, le méchant est présent, agressif et guerrier, sans que nous ne le rencontrions jamais. Ses sbires sont suffisants ! Quel talent, chez cet auteur, de nous faire voir le mal au travers d’autres protagonistes.

Dans ce livre, les allers-retours de narration sont encore plus perceptibles. L’auteur raconte l’histoire depuis chacun de ses héros, tout à tour, et du coup, nous remontons parfois le fil du temps, reprenant l’histoire au point de séparation des personnages. J’adore cette idée, même si elle tend à créer quelques brèves répétitions dans l’histoire, largement compensée et dépassée par les sentiments des personnages.

Les personnages, que je n’ai pas présentés en septembre dernier, sont vraiment fabuleux :
 - Kimberly Ford, prophétesse du Brennin, belle, forte, elle est assez insaisissable, et ses pouvoirs lui vont comme un gant ;
 - Jennifer Lowel, qui est celle qui subit, qui souffre. Son rôle est très particulier et j’avoue que je n’ai pas vraiment accroché avec ce personnage.
 - Dave Martyniuk, dit "Davor", géant à la force brute, combattant exceptionnel, il est aussi d’une timidité amusante. Son rôle déjà intéressant dans le premier tome, prend peu à peu de l’ampleur…
 - Paul Schafer, seigneur de l'arbre de l'été, dit "Pwyll deux fois né est un des personnages phare du premier tome. Dans de deuxième, il prend de plus en plus de place, de puissance. Et c’est amené avec tant de douceur, ajoutant les doutes, les craintes, les pertes de contrôle, que cela devient extraordinaire.
 - Kevin Laine, dit "Liadon", être au charisme fort, plaisant aux dames, mais ayant surtout un rôle d’ami, presque inutile dans le premier tome...

J’aurais beaucoup de mal à dire lequel à ma préférence. Peut-être Kévin ? Mais chut, en parler trahirait une grande partie de l’intrigue. Paul est tout aussi mystérieux, toujours aussi bougon, réservé, mais enfin, versera ses larmes.

Enfin, j’aborderai un dernier point, les Andains. Création de Guy Gavriel Kay, ces êtres nés d’un dieu et d’une mortelle (bien que ce concept ait été déjà utilisé… Stephenie Meyer ayant réutilisé le fait que l’enfant grandisse à vue d’œil…) ont un rôle précis dans le livre. L’un d’eux n’aurait jamais dû naître, et j’ai bien aimé la raison invoquée : le choix. Le choix entre le bien et le mal ! Car, dans ce livre, comme dans le premier, tout est une question de choix, et la Tapisserie se voit parfois remaniée par une décision, un choix.

[la voie sombre - décembre 2015]

Reprendre une série après si longtemps impose soit une grande mémoire, soit de relire sa propre chronique. J'ai la chance d'avoir une très bonne mémoire... mais j'avoue que j'ai un peu pataugé au départ, ne me souvenant plus des personnages. Fort heureusement, la version que je possède présente une liste récapitulative des personnages avec leur nom et leur rôle. Merci donc, car ils sont assez nombreux.

D'autant que l'auteur fait peu de retours et avance dans son intrigue, complexe à souhait, sans imaginer un instant que les lecteurs ne seront pas aussi peu précautionneux que moi. du coup, j'ai du me raccrocher aux mots et surfer sur les premières pages en obligeant mon cerveau à recoller les morceaux. Passé ce petit désagrément, j'ai plongé dans l'histoire et posé le livre pour satisfaire aux (nombreuses) obligations de cette fin d'année avec l'envie de le reprendre.

J'ai, toutefois, trouvé cet épisode un peu longuet et par moment confus. Peut-être à cause du champagne ?

Non, je blague, c'est plutôt à cause de la narration et de cette façon de lier les intrigues, de passer d'un personnage à l'autre, de changer de point de vue en plein milieu d'une scène...

Mais la sublime écriture de G G Kay a, de nouveau, balayé ces petits instants et au final je suis conquise par ce livre. Bien plus sombre que les deux précédents, il offre aussi une belle "réécriture" arthurienne, ce qui ne pouvait que me plaire. L'influence de Tolkien et des légende nordiques se perd un peu, du coup, mais ils rentent ancrés dans les personnages, notamment des lios alfar... enfin, et c'est sûrement ce que j'ai le plus apprécié sur toute la série, chacun des protagonistes est confronté au libre arbitre et doit (comme Harry Potter) choisir entre son destin et celui des autres. 



Les mots pour : style, intrigue, personnages, réécriture de légendes

Les mots contre : quelques longueurs dans le 3eme tome

Notation : bémol pour le 3eme tome. 
Style : 4.5/5
Intrigue : 4/4
Personnages  : 3.5/4
Écriture : 2.5 Crédibilité : 2
P principal(aux) : 2.5/3
Narration : 1 Action : 1
P secondaires : 1/1
Description : 1 Violence/Tendresse : 1
Temps et espaces : 1.75/2
Sensation générale : 2.75/3
Rythme général : 2/2
Total : 18.5/20

Au vu de la chronique, je pense que vous aviez compris que ces livres entre dans les très bonnes lectures des années 2011 et 2012... Un coup de coeur, donc pour ces deux premier tome et une très bonne lecture pour le troisième. 




18 commentaires :

LefsÖ a dit…

Un livre, une trilogie superbe !!!
J'avais la chair de poule en lisant ton article et j'ai (encore une fois) trÈs envie de relire ces livres.
les tomes suivants sont encore meilleurs, si c'est possible ;)
Bonne lecture pour la suite.

Frankie a dit…

J'ai lu ce livre il y a très très longtemps, au moins 20 ans, j'avais bien aimé, j'ai dû lire le tome 2 aussi mais je ne pense pas avoir fini la trilogie. Il faudrait que je relise tout ça un jour !

Lau1307 a dit…

Merkillia m'avait suggéré cette trilogie il y a quelques temps et je l'avais ajouté à ma liste. J'ai finalement trouvé les trois tomes, pas trop chers, dans une bouquinerie. Mais je ne les aie pas ouverts depuis ce temps... Mais ton avis me donne envie de les lire ! :)

nanet a dit…

@ Lefsö : un livre superbe, oui. Je suis ravie de l'avoir lu, et je crois que je vais avoir du mal a lire un autre livre de Fantasy dans les jours à venir...

Merci pour ce joli compliment sur mon article ^^

Biz

nanet a dit…

@ Frankie : je te le conseille vivement, je suis sous le charme... et je vais devoir me "retenir" pour ne pas lire la suite et terminer les challenges... enfin, le Challenge ABC, parce que l'autre, dans quelques jours ce sera fait ^^

Biz

nanet a dit…

@ Lau : n'hésite pas... c'est de la vrai bonne fantasy !

Biz

Walpurgis a dit…

Superbe article, je note ce livre dans ma wish !

pom' a dit…

ca fait des années qu'il est sous ma PAL, couvert de poussière

nanet a dit…

@ Wal : Merci ! C'est un livre magnifique, donc l'article tente de lui rendre hommage...

Biz

nanet a dit…

@ Pom' : peut-être que du coup, il va remonter un peu ?

Biz

Véro a dit…

Je ne connais pas du tout cet auteur. Je "rebondis" sur ta référence au Silmarillion : je viens de "craquer" et d'en abandonner la lecture... et pourtant, je pense que dans un autre contexte (genre grandes vacances), j'aurai pu m'y plaire dans cet univers.

nanet a dit…

@ Vero : Le silmarillion est un livre complet, difficile par les nombreuses intéraction sen tre les histoires. J'ai adoré, mais j'ai conscience du fait que ce livre soit assez ardu. Ma référence ici est dans le fait que l'auteur jongle entre les personnages et parfois, on passe d'un évènement à l'autre pour ne saisir les tenant et les aboutissants que plusieurs pages plus tard, comme dans le Silmarillion, où tu captes la finalité lors de l'évocation d'une autre histoire...
Le reprendras-tu ?

Biz

Anonyme a dit…

cette série fantazy et d'autres attendent depuis trop longtemps dans ma PAL

nanet a dit…

C'est une très belle série, avec un style d'écriture très particulier mais très beau. Doux, accrocheur...

J'espère que tu la sortiras de ta Pal rapidement.

Biz

Jacques a dit…

Merci de ce compte rendu. J'ai lu la série à quelques reprises et, fort heureusement, je l'ai lue après celle du seigneur de anneaux ( que j'ai dû lire 6 ou 7 fois depuis 1980 ) Autrement, je n'aurais probablement pas lu le SDA en entier, tellement la Tapisserie m'a plu.

C'est une trilogie que j'ai fait connaître à plusieurs de mes amis qui, pour la plupart, ont été aussi emballés que moi.

Merci et continuez votre bon travail.

P.S. Guy Gavriel Kay est le neveu de JRR Tolkien. Il a collaboré à l'écriture du Silmarion avec son cousin Christopher Tolkien qui n'a pas une formation d'écrivain.

nanet a dit…

Cher Jacques, merci pour votre sympathique commentaire. Vous me donnez envie de sortir le dernier tome de cette série, que j'ai enfin trouvé et qui attends sagement dans ma Pal. Voilà une des lectures d'Aout. Cela sera agréable de retrouver ces personnage et ce monde merveilleux bien que sombre.

Merci pour la précision biographique.

Bonne journée, nanet

Acr0 a dit…

Je suis ravie de decouvrir ton avis sur le dernier tome... Et de voir que tu as apprevié la trilogie dans son ensemble :) Je ne saurais mieux dire que toi, tout le bien que je pense de cette saga.

nanet a dit…

J'ai tellement tardé à le lire, ce dernier tome... je le regrette un peu, à présent, tant il a su me plaire.

Bonne année, Bises

 

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